Les principales assurances (propres aux victimes) susceptibles d’intervenir :
Elles versent en cas de décès un capital ou une rente au(x) bénéficiaire(s) désigné(s). Le capital est parfois majoré en cas de décès accidentel. Il peut également exister des garanties spécifiques (assurances vie ou accident) liées à un compte bancaire ou une carte de crédit.
Interviennent en fonction du taux d’incapacité ou d’invalidité.
Organisées sur une base individuelle ou collective (souvent via l’employeur) comme complément aux remboursements par les mutualités, elles couvrent les hospitalisations, les frais des soins médicaux, paramédicaux et de médicaments qui y sont liés.
Elles aident l’assuré à faire valoir ses droits au travers de la recherche d’un règlement amiable, d’une intervention dans les frais d’expertise (médicale), et, si nécessaire, dans les frais de procédure et les honoraires d’avocat. Il peut s’agir d’un contrat distinct ou d’une garantie comprise dans une assurance « familiale », dont la couverture peut être moins étendue.
Obligatoire en droit belge pour tout employeur, cette assurance prévoit des prestations en cas de lésions corporelles, tant pour des accidents au cours du travail que sur le chemin du travail, selon les calculs prévus par la loi en matière de soins de santé, de frais funéraires, de revenus de remplacement et de rentes aux membres du ménage. L’employeur peut avoir souscrit des extensions de garantie au-delà des indemnités prescrites en vertu de la loi.
Ces contrats temporaires ou annuels visent une prise en charge des assurés en cas de maladie ou d’accident lors d’un déplacement, et interviennent dans les frais de traitement, le rapatriement voire la visite d’un proche.
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